The Taliban's Crypto Hypocrisy: Trading Memecoins While Banning Crypto
L'hypocrisie cryptographique des talibans : échanger des Memecoins tout en interdisant la cryptographie
The Taliban, notorious for their strict interpretation of Islamic law and rigid governance, have surprisingly banned cryptocurrencies, declaring them "haram." However, reports have emerged that Taliban members are secretly engaging in crypto trading.
Les talibans, connus pour leur interprétation stricte de la loi islamique et leur gouvernance rigide, ont étonnamment interdit les crypto-monnaies, les déclarant « haram ». Cependant, des rapports ont révélé que des membres des talibans se livraient secrètement au commerce de crypto-monnaies.
In the aftermath of Afghanistan's collapse in 2021, the country's economy has faced severe challenges. With frozen central bank reserves and international sanctions, the financial system has struggled.
Au lendemain de l’effondrement de l’Afghanistan en 2021, l’économie du pays a été confrontée à de graves difficultés. Avec le gel des réserves des banques centrales et les sanctions internationales, le système financier est en difficulté.
Afghans turned to cryptocurrencies as an alternative, but in 2024, the Taliban imposed a complete ban. Despite this, reports suggest that Taliban members are trading memecoins, particularly Shiba Inu (SHIB) and Dogecoin (DOGE).
Les Afghans se sont tournés vers les crypto-monnaies comme alternative, mais en 2024, les talibans ont imposé une interdiction totale. Malgré cela, des rapports suggèrent que les membres des talibans échangent des memecoins, en particulier Shiba Inu (SHIB) et Dogecoin (DOGE).
The documentary "Talibanistan" reveals that a Taliban member admitted to making profits from SHIB but lost them due to poor trading decisions. Another member boasted about successful Dogecoin trades.
Le documentaire "Talibanistan" révèle qu'un membre taliban a admis avoir réalisé des bénéfices grâce au SHIB mais les a perdus en raison de mauvaises décisions commerciales. Un autre membre s'est vanté du succès des transactions Dogecoin.
This duality has sparked global scrutiny, highlighting the gap between what the Taliban preaches and what it actually does. Afghanistan once ranked 20th on Chainalysis's Crypto Adoption Index in 2021, but its ranking has plummeted since the ban.
Cette dualité a suscité une attention mondiale, soulignant l’écart entre ce que prêchent les talibans et ce qu’ils font réellement. L'Afghanistan se classait autrefois au 20e rang de l'indice d'adoption des crypto-monnaies de Chainalysis en 2021, mais son classement a chuté depuis l'interdiction.
Initially, cryptocurrencies were tolerated as they allowed Afghans to circumvent banking restrictions. However, the Taliban's sudden change of heart is believed to stem from their desire to maintain control over the country's economy.
Initialement, les crypto-monnaies étaient tolérées car elles permettaient aux Afghans de contourner les restrictions bancaires. Cependant, le revirement soudain des talibans serait dû à leur volonté de conserver le contrôle de l'économie du pays.
The ban has had a devastating impact on Afghanistan's financial lifeline, shutting down exchanges and arresting traders. Critics argue that the Taliban's motivation is not based on religious principles but rather on their desire to suppress decentralized currencies that threaten their grip on power.
L'interdiction a eu un impact dévastateur sur la bouée de sauvetage financière de l'Afghanistan, fermant les bourses et arrêtant les commerçants. Les critiques soutiennent que la motivation des talibans ne repose pas sur des principes religieux mais plutôt sur leur désir de supprimer les monnaies décentralisées qui menacent leur emprise sur le pouvoir.
Meanwhile, the Taliban has reportedly forged a partnership with Russian President Vladimir Putin, who has removed the Taliban from his country's terrorist list. Economists speculate that the Taliban may attempt to join the BRICS alliance, sparking questions about how India and China will respond.
Entre-temps, les talibans auraient noué un partenariat avec le président russe Vladimir Poutine, qui a retiré les talibans de la liste terroriste de son pays. Les économistes pensent que les talibans pourraient tenter de rejoindre l’alliance des BRICS, suscitant des questions sur la réaction de l’Inde et de la Chine.