When you examine the statements of US politicians regarding cryptocurrencies, you would think they are talking about a terrorist organization. According to them, cryptocurrencies are the source of all the world’s evil and are responsible for financing all kinds of crimes. In short, they argue that many problems will be solved if crypto ceases to exist. But is that really the case?

Lorsque l’on examine les déclarations des politiciens américains concernant les crypto-monnaies, on pourrait penser qu’ils parlent d’une organisation terroriste. Selon eux, les cryptomonnaies sont à l’origine de tous les maux du monde et sont responsables du financement de toutes sortes de crimes. En bref, ils affirment que de nombreux problèmes seront résolus si la crypto cesse d’exister. Mais est-ce vraiment le cas ?

The Fed and Million-Dollar Penalty

La Fed et une pénalité d'un million de dollars

We have previously discussed various crimes, ranging from money laundering to the abuse of authority, using examples from traditional financial institutions. In doing so, we mentioned that the bad examples in crypto are unique to humans.

Nous avons déjà évoqué divers délits, allant du blanchiment d’argent à l’abus d’autorité, en utilisant des exemples provenant d’institutions financières traditionnelles. Ce faisant, nous avons mentionné que les mauvais exemples de cryptographie sont propres aux humains.

The Federal Reserve and the New York Department of Financial Services (DFS) have imposed a $29.5 million fine on Metropolitan Commercial Bank for violating the Bank Secrecy Act, alleging that the bank allowed/facilitated $300 million in erroneous transfers. According to DFS, the bank provided the MovoCash digital prepaid Visa card program to malicious individuals in 2020 because it lacked a sufficient verification process to reveal the applicants’ true identities.

La Réserve fédérale et le Département des services financiers (DFS) de New York ont ​​imposé une amende de 29,5 millions de dollars à la Metropolitan Commercial Bank pour violation du Bank Secrecy Act, alléguant que la banque avait autorisé/facilité 300 millions de dollars de transferts erronés. Selon DFS, la banque a fourni le programme de carte Visa numérique prépayée MovoCash à des individus malveillants en 2020, car il ne disposait pas d’un processus de vérification suffisant pour révéler la véritable identité des demandeurs.

Thieves who registered on the platform with fake identities redirected numerous payroll payments and government aid to themselves. In other words, MCB failed to prevent a massive fraud in the MovoCash prepaid card program and allowed malicious individuals to exploit the financial system.

Les voleurs qui se sont inscrits sur la plateforme avec de fausses identités ont redirigé vers eux de nombreux paiements de salaires et aides gouvernementales. En d’autres termes, MCB n’a pas réussi à empêcher une fraude massive dans le programme de cartes prépayées MovoCash et a permis à des individus malveillants d’exploiter le système financier.

Over $300 million in pandemic relief and other payments fell into the hands of scammers. The Fed is now forcing MCB to improve its customer identification, customer status determination, and third-party risk management programs.

Plus de 300 millions de dollars d’aide en cas de pandémie et d’autres paiements sont tombés entre les mains d’escrocs. La Fed oblige désormais MCB à améliorer ses programmes d’identification des clients, de détermination du statut des clients et de gestion des risques liés aux tiers.

Is the Problem with Cryptocurrencies?

Le problème est-il lié aux crypto-monnaies ?

MCB is already a $6.7 billion institution, with most cryptocurrencies having a market value greater than its assets. In fact, if we consider its assets such as DeFi TVL, Maker, excluding Lido, surpasses the entire platform in terms of total locked value. So, what has this “regulated” and “US-interest-serving” institution done? It has fallen into the hands of the Fed for the crime of “weak KYC,” which necessitates waging war against crypto exchanges.

MCB est déjà une institution de 6,7 milliards de dollars, la plupart des crypto-monnaies ayant une valeur marchande supérieure à ses actifs. En fait, si l'on considère ses actifs tels que DeFi TVL, Maker, hors Lido, surpasse l'ensemble de la plateforme en termes de valeur totale verrouillée. Alors, qu’a fait cette institution « réglementée » et « au service des intérêts américains » ? Il est tombé entre les mains de la Fed pour le crime de « KYC faible », ce qui nécessite de mener une guerre contre les échanges cryptographiques.

So, is the problem really with cryptocurrencies? We mentioned that US politicians use bad examples in crypto to wage war against the entire industry. In that case, shouldn’t they say that existing banks are at the center of evil and the den of fraud? Is the exploitation of $300 million in government aid insignificant?

Alors, le problème vient-il vraiment des cryptomonnaies ? Nous avons mentionné que les politiciens américains utilisent de mauvais exemples en matière de cryptographie pour faire la guerre à l’ensemble du secteur. Dans ce cas, ne devrait-on pas dire que les banques existantes sont au centre du mal et dans le repaire de la fraude ? L’exploitation de 300 millions de dollars d’aide gouvernementale est-elle insignifiante ?

The problem is not with cryptocurrencies. The crime lies in the human factor, and there are also bad actors within the crypto industry. Just like the leaders of massive institutions that have been penalized for billion-dollar money laundering crimes, the criminals are to blame.

Le problème ne vient pas des crypto-monnaies. Le crime réside dans le facteur humain, et il existe également de mauvais acteurs au sein de l’industrie de la cryptographie. Tout comme les dirigeants d’institutions massives qui ont été pénalisés pour des crimes de blanchiment d’argent valant des milliards de dollars, les criminels sont à blâmer.

And cryptocurrencies are not the primary financial channel for crime. Just a few years ago, ISIS was selling slaves for $10,000. Those who handed over the green paper with Benjamin Franklin’s portrait bought slaves for amounts like $10,000. ISIS did not conduct slave sales with Dogecoin or Ethereum.

Et les cryptomonnaies ne constituent pas le principal canal financier du crime. Il y a quelques années à peine, l’Etat islamique vendait des esclaves pour 10 000 dollars. Ceux qui ont remis le livre vert avec le portrait de Benjamin Franklin ont acheté des esclaves pour des sommes pouvant atteindre 10 000 dollars. ISIS n’a pas procédé à des ventes d’esclaves avec Dogecoin ou Ethereum.

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