Arrest Warrant Issued for South Korean President Yoon Suk Yeol
Mandat d'arrêt émis contre le président sud-coréen Yoon Suk Yeol
A South Korean court has approved an arrest warrant for President Yoon Suk Yeol, who was previously impeached and suspended from office. This marks the first time a sitting South Korean president has faced an arrest warrant.
Un tribunal sud-coréen a approuvé un mandat d'arrêt contre le président Yoon Suk Yeol, qui avait déjà été destitué et suspendu de ses fonctions. C'est la première fois qu'un président sud-coréen en exercice fait face à un mandat d'arrêt.
Investigators sought the warrant after President Yoon failed to appear for questioning for a third time. The request was made by a joint investigation taskforce comprised of the National Office of Investigation, the Corruption Investigation Office for High-ranking Officials (CIO), and the Criminal Investigation Command of the Defense Ministry.
Les enquêteurs ont demandé le mandat après que le président Yoon ne se soit pas présenté pour un troisième interrogatoire. La demande a été formulée par un groupe de travail d'enquête conjoint composé du Bureau national d'enquête, du Bureau d'enquête sur la corruption des hauts fonctionnaires (CIO) et du Commandement des enquêtes criminelles du ministère de la Défense.
The CIO has stated that the arrest warrant must be executed within seven days of approval but can be extended as necessary. Deputy Prime Minister and Finance Minister Choi Sang-mok is currently serving as South Korea's interim leader after Yoon was impeached on December 14.
Le CIO a déclaré que le mandat d'arrêt doit être exécuté dans les sept jours suivant son approbation, mais peut être prolongé si nécessaire. Le vice-Premier ministre et ministre des Finances Choi Sang-mok assure actuellement la présidence par intérim de la Corée du Sud après la destitution de Yoon le 14 décembre.
Martial Law Triggered Market Dip
La loi martiale a déclenché une baisse du marché
On December 3, Yoon imposed martial law in a live television address, citing concerns about anti-state elements and threats from North Korea. This action led to a brief slump in crypto prices both domestically and internationally.
Le 3 décembre, Yoon a imposé la loi martiale dans un discours télévisé en direct, invoquant ses inquiétudes concernant les éléments antiétatiques et les menaces de la Corée du Nord. Cette action a entraîné une brève baisse des prix des cryptomonnaies, tant au niveau national qu’international.
On South Korean crypto exchanges, the price of Bitcoin dropped by as much as $30,000 in six hours, attributed to a liquidity crisis exacerbated by the absence of key market players.
Sur les bourses crypto sud-coréennes, le prix du Bitcoin a chuté jusqu'à 30 000 dollars en six heures, attribué à une crise de liquidité exacerbée par l'absence des principaux acteurs du marché.
On international platforms, the prices of Bitcoin, Ethereum, and XRP also declined by up to 4% in response to the news. Crypto prices recovered quickly after the parliament ordered Yoon to lift the martial law on December 4.
Sur les plateformes internationales, les prix du Bitcoin, de l’Ethereum et du XRP ont également baissé jusqu’à 4 % en réponse à cette nouvelle. Les prix des cryptomonnaies se sont rapidement redressés après que le Parlement a ordonné à Yoon de lever la loi martiale le 4 décembre.
The incident occurred the day following South Korea's second-highest level of retail crypto trading for the year, driven by a surge in interest in "high momentum" altcoins such as XRP, Dogecoin, and Stellar.
L'incident s'est produit le lendemain du deuxième niveau le plus élevé de trading de crypto-monnaies au détail en Corée du Sud pour l'année, entraîné par un regain d'intérêt pour les altcoins « à forte dynamique » tels que XRP, Dogecoin et Stellar.