After a delay-plagued first month of the year, SpaceX is only hours away from its seventh Falcon 9 launch in January, as a record-setting booster prepares to fly tonight from California. Seasoned B1063—a grizzled West Coast veteran, flying a record-breaking 15th time from Vandenberg Space Force Base and the 16th mission of its career—is targeting a raft of T-0 points extending from 4:35 p.m. PST through 8:35 p.m. PST, with backup opportunities available from 4:14 p.m. PST Wednesday.

Après un premier mois de l'année marqué par des retards, SpaceX n'est qu'à quelques heures de son septième lancement de Falcon 9 en janvier, alors qu'un booster record se prépare à voler ce soir depuis la Californie. Le B1063 chevronné – un vétéran grisonnant de la côte ouest, qui a effectué un 15e vol record depuis la base spatiale de Vandenberg et la 16e mission de sa carrière – cible une série de points T-0 s'étendant de 16 h 35 à 20 h 35. PST jusqu'à 20h35 PST, avec des opportunités de sauvegarde disponibles à partir de 16h14. PST mercredi.

For tonight’s flight, B1061 is laden with 22 Starlink internet communications satellites, totaling 38,800 pounds (17,600 kilograms), destined for insertion into low-Earth orbit. It will bring the total number of these flat-packed satellites launched so far in 2024 to more than a hundred aboard five Falcon 9 missions.

Pour le vol de ce soir, le B1061 est chargé de 22 satellites de communication Internet Starlink, totalisant 38 800 livres (17 600 kilogrammes), destinés à être insérés en orbite terrestre basse. Cela portera le nombre total de ces satellites plats lancés jusqu'à présent en 2024 à plus d'une centaine à bord de cinq missions Falcon 9.

Following liftoff from Vandenberg’s Space Launch Complex (SLC)-4E, B1063’s nine Merlin 1D+ engines will power the 230-foot-tall (70-meter) stack uphill for the opening 2.5 minutes of ascent, before Main Engine Cutoff (MECO), stage separation and a descent and touchdown on the deck of the West Coast-based Autonomous Spaceport Drone Ship (ASDS), “Of Course I Still Love You”, situated offshore in the Pacific Ocean. The single Merlin 1D+ Vacuum engine of the Falcon 9’s second stage will then ignite for a standard six-minute “burn” to deliver the 22 Starlinks into orbit.

Après le décollage du Space Launch Complex (SLC)-4E de Vandenberg, les neuf moteurs Merlin 1D+ du B1063 propulseront la pile de 230 pieds de haut (70 mètres) en montée pour les 2,5 minutes d'ascension d'ouverture, avant l'étape de coupure du moteur principal (MECO). séparation et descente et atterrissage sur le pont du navire drone du port spatial autonome (ASDS), basé sur la côte ouest, « Bien sûr, je t'aime toujours », situé au large dans l'océan Pacifique. L’unique moteur Merlin 1D+ Vacuum du deuxième étage du Falcon 9 s’allumera ensuite pendant une « combustion » standard de six minutes pour mettre les 22 Starlinks en orbite.

A year ago, seven launches across the span of an entire calendar month was a newly achieved personal best for SpaceX, with the Hawthorne, Calif.-headquartered organization scoring its first eight-launch month last March and its first month to feature nine launches last August. Each consecutive month since then has seen nine launches, but despite 2023’s record-breaking cadence of 96 Falcon 9 and Falcon Heavy missions SpaceX is reportedly aiming for around 144 launches this year, an average of 12 per month.

Il y a un an, sept lancements sur un mois civil complet représentaient un nouveau record personnel pour SpaceX, l'organisation basée à Hawthorne, en Californie, marquant son premier mois de huit lancements en mars dernier et son premier mois avec neuf lancements l'année dernière. Août. Depuis lors, chaque mois consécutif a vu neuf lancements, mais malgré la cadence record de 96 missions Falcon 9 et Falcon Heavy en 2023, SpaceX viserait environ 144 lancements cette année, soit une moyenne de 12 par mois.

January began with impressive pace, as a pair of Falcon 9s roared aloft from opposing seaboards of the United States—a Starlink launch from Vandenberg and Sweden’s Ovzon-3 broadband communications satellite from Cape Canaveral Space Force Station, Fla.—conducted only 19 hours and 20 minutes apart on the year’s third day. But the pace slowed a tad in January’s second week, when the second Vandenberg mission of the year suffered several days of delay due to poor weather, and last Thursday’s launch of Dragon Freedom and her Ax-3 crew of Commander Mike Lopez-Alegria, Pilot Walter Villadei and Mission Specialists Alper Gezeravcı (the first national spacefarer of Türkiye) and Marcus Wandt itself succumbed to a daylong delay of its own.

Le mois de janvier a commencé à un rythme impressionnant, alors que deux Falcon 9 s'envolaient depuis les côtes opposées des États-Unis - un lancement Starlink depuis Vandenberg et le satellite suédois de communications à large bande Ovzon-3 depuis la station spatiale de Cap Canaveral, en Floride - n'a duré que 19 heures et À 20 minutes d'intervalle le troisième jour de l'année. Mais le rythme a un peu ralenti au cours de la deuxième semaine de janvier, lorsque la deuxième mission Vandenberg de l'année a subi plusieurs jours de retard en raison du mauvais temps, et le lancement jeudi dernier du Dragon Freedom et de son équipage Ax-3 du commandant Mike Lopez-Alegria, pilote Walter Villadei et les spécialistes de mission Alper Gezeravcı (le premier voyageur spatial national de Turquie) et Marcus Wandt lui-même ont succombé à un retard d'une journée.

Seven launches inside January’s first three weeks approximates a mission every 3.2 days, somewhat greater than the 3.8 days averaged last year. But in order to attain 12 flights per month—or 144 across the span of 2024—requires a rate of a mission each 2.5 days or so and tonight’s planned Vandenberg launch has seen Mother Nature remind SpaceX for several consecutive days that it is she who remains in charge.

Sept lancements au cours des trois premières semaines de janvier correspondent à environ une mission tous les 3,2 jours, soit un peu plus que la moyenne de 3,8 jours de l’année dernière. Mais pour atteindre 12 vols par mois – ou 144 sur une période de 2024 – il faut un rythme d'une mission tous les 2,5 jours environ et le lancement prévu de Vandenberg ce soir a vu Mère Nature rappeler à SpaceX pendant plusieurs jours consécutifs que c'est elle qui reste. en charge.

Teams initially aimed for last Thursday evening, during a two-hour “window” opening at 8:04 p.m. PST and closing at 10:05 p.m. PST, despite a 20-percent possibility of rain showers. In readiness for launch, loading of the Falcon 9 with liquid oxygen and a highly refined form of rocket-grade (known as “RP-1”) got underway on time at T-35 minutes, but despite earlier tweeting that “all systems and weather” were go, SpaceX ultimately elected to stand down and enter a 24-hour recycle.

Les équipes visaient initialement jeudi soir dernier, lors d'une « fenêtre » de deux heures s'ouvrant à 20h04. PST et fermeture à 22h05. PST, malgré une possibilité d'averses de pluie de 20 %. En préparation pour le lancement, le chargement du Falcon 9 avec de l'oxygène liquide et une forme hautement raffinée de fusée (connue sous le nom de « RP-1 ») a commencé à l'heure à T-35 minutes, mais malgré un tweet antérieur selon lequel « tous les systèmes et "La météo" était terminée, SpaceX a finalement choisi de se retirer et de se lancer dans un recyclage de 24 heures.

But attempts last weekend proved no more charmed, as B1063 was twice stood down due to an inclement weather outlook and launch was realigned for the late afternoon into early evening hours of Tuesday. If the mission flies tonight, there remains the possibility that SpaceX will match its current trend by staging eighth and ninth missions before January’s end, with a chance that the coming days could see its first ten-launch calendar month.

Mais les tentatives du week-end dernier n'ont pas été plus enchantées, puisque le B1063 a été interrompu à deux reprises en raison de mauvaises conditions météorologiques et que le lancement a été réaligné pour la fin de l'après-midi et le début de la soirée de mardi. Si la mission vole ce soir, il reste la possibilité que SpaceX suive sa tendance actuelle en organisant des huitième et neuvième missions avant la fin janvier, avec une chance que les prochains jours voient son premier mois civil de dix lancements.

Storied Space Launch Complex (SLC)-40 at Cape Canaveral Space Force Station, Fla., which has seen launches on average every four to seven days, was last vacated by a Falcon 9 on 15 January and is seemingly now being “held” for Northrop Grumman Corp.’s high-priority NG-20 Cygnus cargo mission to the International Space Station (ISS) at 12:30 p.m. EST on the 29th. Following the final voyage of its home-grown Antares 230+ booster last August, Northrop Grumman contracted with SpaceX to fly three Cygnus missions—NG-20, NG-21 and NG-22—aboard Falcon 9s until the next-generation Antares 330, powered by Firefly Aerospace’s Miranda engines, enters service in mid-2025.

Le Storied Space Launch Complex (SLC)-40 de la station spatiale de Cap Canaveral, en Floride, qui a connu des lancements en moyenne tous les quatre à sept jours, a été libéré pour la dernière fois par un Falcon 9 le 15 janvier et est apparemment désormais « retenu » pendant Mission cargo hautement prioritaire NG-20 Cygnus de Northrop Grumman Corp. vers la Station spatiale internationale (ISS) à 12h30 (heure de Paris). HNE le 29. Après le dernier voyage de son booster local Antares 230+ en août dernier, Northrop Grumman a signé un contrat avec SpaceX pour effectuer trois missions Cygnus – NG-20, NG-21 et NG-22 – à bord de Falcon 9 jusqu'à l'Antares 330 de nouvelle génération, propulsé par les moteurs Miranda de Firefly Aerospace, entre en service à la mi-2025.

Honoring former NASA astronaut Dr. Patricia “Patty” Hilliard-Robertson (1963-2001), NG-20 continues a longstanding Northrop Grumman tradition of naming each Cygnus after a deceased figure who played a substantial role in human space exploration. Past honorees included astronauts from Apollo 1 and the final crews of shuttles Challenger and Columbia, together with moonwalkers Gene Cernan, John Young and Al Bean and “Hidden Figures” mathematician Katherine Johnson.

En hommage à l'ancienne astronaute de la NASA, le Dr Patricia « Patty » Hilliard-Robertson (1963-2001), NG-20 perpétue une longue tradition de Northrop Grumman consistant à donner à chaque Cygnus le nom d'un personnage décédé qui a joué un rôle important dans l'exploration spatiale humaine. Parmi les anciens lauréats figuraient les astronautes d'Apollo 1 et les derniers équipages des navettes Challenger et Columbia, ainsi que les marcheurs sur la lune Gene Cernan, John Young et Al Bean et la mathématicienne des « Figures cachées » Katherine Johnson.

Hilliard-Roberson, a physician, private pilot, flight instructor and space medicine fellow, was selected into NASA’s Astronaut Corps in June 1998, but tragically died following injuries sustained in an airplane accident in May 2001, before ever flying into space. “At just 38 years old at the time of her death, she had already achieved so much,” remembered former astronaut Doug Hurley, who today serves as Northrop Grumman’s director of business development, “and her legacy in medicine, aviation and space exploration continues to inspire generations that have followed.”

Hilliard-Roberson, médecin, pilote privé, instructeur de vol et chercheur en médecine spatiale, a été sélectionné dans le corps des astronautes de la NASA en juin 1998, mais est décédé tragiquement des suites de blessures subies dans un accident d'avion en mai 2001, avant même de voler dans l'espace. « À seulement 38 ans au moment de sa mort, elle avait déjà accompli tant de choses », se souvient l'ancien astronaute Doug Hurley, aujourd'hui directeur du développement commercial de Northrop Grumman, « et son héritage dans les domaines de la médecine, de l'aviation et de l'exploration spatiale se poursuit. pour inspirer les générations qui ont suivi.

In December, NG-20’s unpressurized Service Module (SM) concluded its final checkouts and was transported overland from Northrop Grumman’s facilities in Dulles, Va., to Florida for launch. Last week, teams integrated the SM with Cygnus’ Pressurized Cargo Module (PCM)—built by Thales Alenia Space in Turin, Italy—and began loading equipment, payloads and supplies. The complete spacecraft stands 21 feet (6.4 meters) tall and boasts an internal pressurized volume of 950 cubic feet (27 cubic meters).

En décembre, le module de service (SM) non pressurisé du NG-20 a terminé ses dernières vérifications et a été transporté par voie terrestre depuis les installations de Northrop Grumman à Dulles, en Virginie, jusqu'en Floride pour son lancement. La semaine dernière, les équipes ont intégré le SM au module de fret pressurisé (PCM) de Cygnus, construit par Thales Alenia Space à Turin, en Italie, et ont commencé à charger des équipements, des charges utiles et des fournitures. Le vaisseau spatial complet mesure 6,4 mètres de haut et possède un volume interne sous pression de 950 pieds cubes (27 mètres cubes).

Following 29 January’s launch, the NG-20 Cygnus will approach the space station early on the 31st, to be grappled by the 57.7-foot-long (17.6-meter) Canadarm2. It will then be robotically berthed onto the Earth-facing (or “nadir”) port of the Unity node.

Après le lancement du 29 janvier, le NG-20 Cygnus s'approchera de la station spatiale tôt le 31, pour être saisi par le Canadarm2 de 57,7 pieds de long (17,6 mètres). Il sera ensuite amarré de manière robotique sur le port orienté vers la Terre (ou « nadir ») du nœud Unity.

Commanding the Canadian-built robotic will be Expedition 70 crewmembers Loral O’Hara and Jasmin Moghbeli, with an expectation that Cygnus will remain attached to the sprawling orbital complex until late spring. Yesterday, O’Hara and Moghbeli reviewed Cygnus’ mission profile, rendezvous procedures and command and control interfaces to prepare for their roles and responsibilities during the NG-20 arrival.

Loral O'Hara et Jasmin Moghbeli, membres de l'équipage de l'Expédition 70, commanderont le robot construit au Canada, avec l'espoir que Cygnus restera attaché au complexe orbital tentaculaire jusqu'à la fin du printemps. Hier, O'Hara et Moghbeli ont examiné le profil de mission de Cygnus, les procédures de rendez-vous et les interfaces de commandement et de contrôle pour se préparer à leurs rôles et responsabilités lors de l'arrivée du NG-20.

Among NG-20’s haul of payloads is the Robotic Surgery Tech Demo, led by Principal Investigator Scott Tarry of the University of Nebraska at Omaha, which is capable of being remotely controlled or teleoperated from the ground. To be mounted in an Express rack locker aboard the ISS, this miniature surgical robot will conduct simulated surgical tasks to assess the effects of microgravity and time-lag latency upon its activities.

Parmi les charges utiles du NG-20 se trouve la démonstration technologique de chirurgie robotique, dirigée par l'enquêteur principal Scott Tarry de l'Université du Nebraska à Omaha, qui est capable d'être contrôlée à distance ou téléopérée depuis le sol. À monter dans un casier rack Express à bord de l'ISS, ce robot chirurgical miniature effectuera des tâches chirurgicales simulées pour évaluer les effets de la microgravité et du temps de latence sur ses activités.

The robot will execute an autonomous subset of surgical tasks independently and a remotely teleoperated mode which will see it controlled by a user from an Earth-based interface. “As longer space missions become more common, the potential need for emergency care increased, including surgical procedures from simple stitching of lacerations to more complex activities,” NASA explained. “Results from this investigation could support development of robotic systems to perform procedures, ensuring the safety of crew members and the success of future missions.”

Le robot exécutera un sous-ensemble autonome de tâches chirurgicales de manière indépendante et un mode téléopéré à distance qui le verra contrôlé par un utilisateur à partir d'une interface basée sur Terre. "À mesure que les missions spatiales plus longues deviennent plus courantes, le besoin potentiel de soins d'urgence a augmenté, y compris des interventions chirurgicales allant de la simple suture des lacérations à des activités plus complexes", a expliqué la NASA. "Les résultats de cette enquête pourraient soutenir le développement de systèmes robotiques pour exécuter des procédures, garantissant ainsi la sécurité des membres d'équipage et le succès des futures missions."

The Compartment Cartilage Tissue Construct investigation, led by Principal Investigator Yupeng Chen of the University of Connecticut, will demonstrate a pair of technologies—Janus Base Nanomatrix (JBNm) and Janus Base Nanopiece (JBNp)—to grow cartilage tissues in space with the intention of studying cartilage diseases and potential therapies to combat cartilage degenerative diseases, notably osteoarthritis.

L'enquête sur la construction de tissus cartilagineux à compartiments, dirigée par le chercheur principal Yupeng Chen de l'Université du Connecticut, démontrera deux technologies - Janus Base Nanomatrix (JBNm) et Janus Base Nanopiece (JBNp) - pour faire croître des tissus cartilagineux dans l'espace avec l'intention de étudier les maladies du cartilage et les thérapies potentielles pour lutter contre les maladies dégénératives du cartilage, notamment l'arthrose.

The Kentucky Re-entry Probe Experiment (KREPE)-2 will see three instrumented capsules deployed inside Cygnus at the end of the NG-20 mission to evaluate affordable re-entry technologies. The capsules are outfitted with data-gathering sensors, including thermocouples positioned at various depths within their heat shields, to assess the thermal response during re-entry and transmit directly to orbiting Iridium satellites and from thence to ground stations.

L'expérience Kentucky Re-entry Probe (KREPE)-2 verra trois capsules instrumentées déployées à l'intérieur de Cygnus à la fin de la mission NG-20 pour évaluer des technologies de rentrée abordables. Les capsules sont équipées de capteurs de collecte de données, notamment des thermocouples positionnés à différentes profondeurs dans leurs boucliers thermiques, pour évaluer la réponse thermique lors de la rentrée et les transmettre directement aux satellites Iridium en orbite et de là aux stations au sol.

Shortly before Cygnus departs the ISS later this spring, station crew members will remove the capsules, position them in three discrete locations and transition them into a “dormant” state as the cargo ship is loaded with waste materials for disposal. During re-entry, the KREPE-2 capsules will monitor Cygnus’ breakup in the upper atmosphere—evidenced by a temperature “spike” from on-board thermocouples, a specified level of acceleration, a physical detachment from the protective shell or a combination of all three—and continue recording until splashdown in the ocean is detected.

Peu avant que Cygnus ne quitte l'ISS plus tard ce printemps, les membres de l'équipage de la station retireront les capsules, les positionneront à trois endroits distincts et les mettront dans un état « dormant » pendant que le cargo sera chargé de déchets à éliminer. Lors de la rentrée, les capsules KREPE-2 surveilleront la désintégration du Cygnus dans la haute atmosphère, comme en témoigne un « pic » de température provenant des thermocouples embarqués, un niveau d'accélération spécifié, un détachement physique de la coque de protection ou une combinaison de tous les trois et continuez l'enregistrement jusqu'à ce qu'un amerrissage dans l'océan soit détecté.

Manufacturing of Semiconductors and Thin-film Integrated Coatings (MSTIC), supplied by Made in Space of Jacksonville, Fla., will seek to produce high-quality, low-cost semiconductor chips for conceptual applications in the electronics industry. “The potential for producing films with superior surface structures and the broad range of applications from energy harvesting to advanced sensor technology are particularly groundbreaking,” said Alex Hayes of Redwire Space, which developed the technology. “This represents a significant leap in space manufacturing and could herald a new era of technological advancements with wide-reaching implications for both space exploration and terrestrial applications.”

Manufacturing of Semiconductors and Thin-film Integrated Coatings (MSTIC), fourni par Made in Space de Jacksonville, en Floride, cherchera à produire des puces semi-conductrices de haute qualité et à faible coût pour des applications conceptuelles dans l'industrie électronique. "Le potentiel de production de films dotés de structures de surface supérieures et le large éventail d'applications allant de la récupération d'énergie à la technologie avancée des capteurs sont particulièrement révolutionnaires", a déclaré Alex Hayes de Redwire Space, qui a développé la technologie. "Cela représente un bond significatif dans la fabrication spatiale et pourrait annoncer une nouvelle ère de progrès technologiques avec des implications de grande envergure à la fois pour l'exploration spatiale et les applications terrestres."

And the European Space Agency (ESA) is providing its 3D Metal Printer to test additive manufacturing or 3D-printing or small metallic components to examine their functionality, performance and operations, as well as their quality, strength and characteristics. Three-dimensional printing carries great potential for creating parts for maintaining equipment on future long-duration missions or deep-space expeditions to the Moon and Mars.

Et l'Agence spatiale européenne (ESA) fournit son imprimante 3D métal pour tester la fabrication additive ou l'impression 3D de petits composants métalliques afin d'examiner leur fonctionnalité, leurs performances et leur fonctionnement, ainsi que leur qualité, leur résistance et leurs caractéristiques. L'impression tridimensionnelle présente un grand potentiel pour la création de pièces destinées à l'entretien des équipements lors de futures missions de longue durée ou d'expéditions dans l'espace lointain vers la Lune et Mars.